L'arc républicain

qui est de gauche, qui est de droite ?

Le président Emmanuel Macron enchaîne les dérapages et les provocations. On pense bien sûr d'abord à sa gestion de la crise agricole et au chaos qu'il a provoqué au Salon International de l'Agriculture de Paris.

Même en état de siège dans un local protégé par des CRS dépassés, il n'a pu s'empêcher de s'en prendre encore une fois à « l'extrême droite ».

L'arc républicain, un club très fermé ?

Au lieu d'assumer le costume de chef de l'Etat et d'unir la Nation, le « grand diviseur » a encore frappé.

Selon Emmanuel Macron « l'extrême droite ne fait pas partie de l'arc républicain ». Une litanie reprise ensuite par les lieutenants de la macronie, dans la plupart des médias. Au moment même ou l'ARCOM et à travers elle le gouvernement et ses alliés de gauche, s'attaquent à la liberté d'informer de CNews. 

Emmanuel Macron fait ainsi l'aveu qu'il n'est pas le président de tous les Français et exclut de la République ceux qu'il parvient plus à manipuler.

Ceux qu'ils se plaisent à nommer « extrême droite » n'auraient pas voix au chapitre. Cette astuce politicienne dite de « la boule puante », consistant à jeter l'opprobre sur son adversaire pour le rendre inaudible, est la dernière arme de la Macronie.

Emmanuel Macron s’arroge le droit de décider qui est républicain, aidé des révolution de gauche et extrême gauche qui veulent défaire la Constitution Française.

Mais qu’en est-il de la gauche française ? Elle est devenue un mélange hétérogène, dont le maître mot est « mondialisme »

La désindustrialisation et la mondialisation, c'est le libéralisme sous l'ère Mitterrand. L'essorage des services publics, le travail le dimanche et la centralisation des nouvelles régions, l' « austérité », c'est le néo-libéralisme sous Hollande.

Quant au président actuel, il faut se rappeler qu'il s'agit d'un homme qui a perdu les primaires, à droite ET à gauche !

Macron épuise également les fonds de panier des vieux partis (Darmanin, Véran, Dati, …) pour maintenir les machines de l'Etat en mode essorage. Toujours moins de service public, moins d'énergies, moins de pouvoir d'achat, moins de production française, moins d'agriculteurs... 

Sans les appuis de cette « gauche », sans Hollande, pas de Macron. Sans les appuis de la fausse « droite », sans Darmanin ou Bruno LeMaire, pas de Macron.

Les frontières entre « la droite » et « la gauche » ont été volontairement brouillées à des fins purement électorales. Il s'agit de flatter les communautés musulmanes et étrangères, quand l'immigration est en train de remplacer l'électorat français de souche et que les partis ont besoin de votes. Et flatter des ultra-riches et des grands patrons, en défiscalisations ou en absence de lutte contre la fraude fiscale, quand les partis ont besoin d'argent.

Les vieux partis comme le PC, le PS et les LR tentent de survivre en s'offrant un autre électorat. Subventions et financements d'associations wokes ou religieuses, placements de copains à des hautes fonctions ou emplois fictifs...

Tout est bon pour protéger les mandats qu'il leur reste, principalement des mandats locaux (régions, départements & communes). Comme Wauquiez, qui finance l'islamisme ou Ciotti qui voulait acheter des villas en région PACA pour loger des migrants clandestins. 

Finalement quelle différence avec « la gauche » et les « écolos » ? Eux qui subventionnent la propagande LGBT dans l'enseignement et la Culture et alimentent le Grand Remplacement, qui gangrènent les rouages de la Justice.

Quelle différence entre un Emmanuel Macron, un Laurent Wauquiez ou un Manuel Valls ?

Ne nous trompons pas, le seul parti de droite en 2024 c'est Reconquête ! Le seul programme authentiquement de droite, porté par des élus sincères, c'est le nôtre. Celui qui sera mené au sein de l'Union Européenne par Marion Maréchal et Guillaume Peltier.

#AvecMarion

#LeVoteàDroite